Échange : Dettes du Sud, les banques peuvent-elles s'en laver les mains ?
Échange : Dettes du Sud, les banques peuvent-elles s'en laver les mains ?
Chaque lundi soir, Financité reçoit un·e invité·e qui développe un sujet d'actualité durant 45 minutes avant de laisser un temps équivalent au public. Le format de ces entretiens en toute simplicité se veut accessible à toutes les personnes simplement curieuses et ne nécessite aucun bagage économique particulier.
Le thème de ce lundi : Les responsabilités des créanciers privés dans la réduction des dettes des pays du Sud.
La dette des pays du Sud global atteint aujourd'hui des niveaux records. Selon l'Organisation des Nations-Unies (ONU), plus de 54 pays du Sud global - abritant plus de la moitié de la population vivant dans l'extrême pauvreté - sont actuellement en détresse financière. Face à cette situation alarmante, l'ONU appelle à des mesures ambitieuses et rapides d'allègement de dette qui mettent à contribution tous les créanciers, publics comme privés. Or jusqu'à présent, certains créanciers dont les grandes banques et fonds d'investissement refusent de coopérer à tout effort 'allègement de la dette. Heureusement, il n'y a pas de fatalité. Une proposition de loi pour impliquer tous les créanciers dans les allègements de dette est même en discussion au Parlement fédéral. Pour en parler, nous recevrons l'un de ses promoteurs Renaud Vivien (coordinateur du Service politique d'Entraide et Fraternité) qui vient d'être auditionné à la Chambre sur cette proposition législative aussi nécessaire qu'urgente.
Les invité·e·s de ce soir :
Mr Renaud Vivien est responsable du service politique d'Entraide et Fraternité
Decouvrez l'étude de Renaud Vivien et Aline Farès : "dettes du Sud, les banques peuvent-elles s'en laver les mains ?"
En pratique :
- Lien zoom : https://us02web.zoom.us/j/81621578056
- Contact : anne .berger@ financit e.be
- Inscription souhaitée via le formulaire ci-dessous